Le blog de Julien Arbez

15/08/2013

Pendant qu’aux infos la galaxie continue à sombrer, les paysages changent de costume et d’autres continuent leur vie...

JUILLET, AOUT 2013

Je vous avais promis de vous redonner des nouvelles des jeunes grèbes huppés du lac d’Annecy... L’appétit n’a pas diminué, tout va bien ! 

 

 

Rien à voir... Je vois double ?

 

Petite escapade dans les Aravis, au refuge de Gramusset, pour une grimpette au Col des Verts, à deux pas de la Roche Percée. Loin des lampadaires et des vitrines illuminées, la nuit est toujours aussi belle !

 

 

JUILLET, LA SUITE !

Petite séance photo avec un rouge-queue noir qui vient nourir sa femelle au nid. Eh oui, la brave dame est en train de couver les oeufs de sa deuxième fournée !

Au menu : Chenilles, éphémères, fourmis, araignées, papillons...

 

Parfois, notre oiseau nous dégotte de bien drôles de besiolles :

 

La dernière pleine lune m’a donné envie de refaire des prises de vues nocturnes... 23h... Je prends la voiture, monte en direction des Aravis pour photographier le lever de lune derrière les montagnes. 

Il fait encore beau, chaud, c’est l’été quoi ! Oui, mais le temps se gâte très vite, et les premiers éclairs de chaleur ne tardent pas à illuminer le ciel. L’orage se rapproche, les éclairs snt de plus en plus impressionnants. Ni une ni deux, je file au Col de la Colombière... savourer le déluge, assis dans les herbes folles !

Les prises de vues qui suivent durent chacune 30 secondes. Sur cette image, une voiture montait les lacets du col :

Et bam !!!

Et vivement le prochain orage !

 

JUILLET 2013

Quelques nouvelles de la mare de l’écomusée où les demoiselles au corps de feu (c’est leur nom), cousines des libellules, se retrouvent pour pondre dans ce lieu qui les inspire apparemment ! Sous l’oeil exorbité des couleuvres à collier qui poursuivent le gavage ! Pauvres têtards...

 

4 jours de vacances m’ont permis de retourner en Drôme provençale, rechercher le lézard osselé et le percoptère d’Egypte... Mais ni le reptile ni l’oiseau ne se sont laissés appercevoir. Les vautiurs fauves, eux sont toujours là, en grands voiliers, par-delà les champs de lavandes, sous 38 degrés. 

"1 km à pied, j’transpire, j’transpire, 

1 km à pied, j’transpire dans mes souliers !"

 

Un détour par les Hautes-Alpes pour rendre visite à une amie alpagiste m’a apporté un peu de fraicheur ... et de bien belles couleurs !

On n’est pas bien à vivre le temps qui passe ?